Pff, qu'ça à faire de ranger ses...choses... {Libre
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Pff, qu'ça à faire de ranger ses...choses... {Libre
Certains disent que Ronald Bilius Weasley, le meilleur ami d'Harry Potter était toujours avec ce dernier, mais là, à cet instant, ce n'était pas le cas. Le rouquin, après une altercation avec la fouine, autrement appelée Drago Malfoy, sous les yeux de Chourave, il était condamné à ranger des bizarreries dont seule la professeur savait ce que c'était.
Le blondinet, fidèle aux idées de lâcheté de sa maison de traitres, avait éclaté en sanglots prétextant que Weasley l'avait frappé, il avait été transporté à l'infirmerie où il se tordait de douleur sur un lit.
C'était un samedi matin que Chourave avait décidé que Ron rangerait les pots contenant des plantes dans les placards, en arrivant dans la serre de botanique, la professeur lui avait indiqué qu'un ou une élève allait venir lui tenir compagnie. Le garçon avait failli répliquer d'une voix ironique: "Quelle délicate attention!" mais il s'était ravisé voyant les épais sourcils du professeur froncés.
Cela faisait à peine cinq minutes que Ron, vêtu du pull tricoté par sa mère rangeait les pots dans les satanés placards plein de terre... Chourave était allée chercher l'élève manquant, le laissant seul...
Il rangea un pot de mandragore à bout de bras, se souvenant de sa première année...
- Pff qu'ça à faire de ranger ses...trucs... Ronchonna t-il, ignorant l'entrée de l'élève en retard.
Le blondinet, fidèle aux idées de lâcheté de sa maison de traitres, avait éclaté en sanglots prétextant que Weasley l'avait frappé, il avait été transporté à l'infirmerie où il se tordait de douleur sur un lit.
C'était un samedi matin que Chourave avait décidé que Ron rangerait les pots contenant des plantes dans les placards, en arrivant dans la serre de botanique, la professeur lui avait indiqué qu'un ou une élève allait venir lui tenir compagnie. Le garçon avait failli répliquer d'une voix ironique: "Quelle délicate attention!" mais il s'était ravisé voyant les épais sourcils du professeur froncés.
Cela faisait à peine cinq minutes que Ron, vêtu du pull tricoté par sa mère rangeait les pots dans les satanés placards plein de terre... Chourave était allée chercher l'élève manquant, le laissant seul...
Il rangea un pot de mandragore à bout de bras, se souvenant de sa première année...
- Pff qu'ça à faire de ranger ses...trucs... Ronchonna t-il, ignorant l'entrée de l'élève en retard.
Invité- Invité
Re: Pff, qu'ça à faire de ranger ses...choses... {Libre
J’étais éprouvée. Mes cheveux blonds, trop fins, collaient à mon front par la sueur, alors qu’il ne faisait que un ou deux degrés dehors. Et je n’étais habillée pour ainsi dire qu’avec des loques. Un vieux short en jean taillé à la va-vite, et un t-shirt à manches courtes d’un ridicule vert pomme. La simple raison pour laquelle j’étais habillée ainsi et pas drapée dans ma cape de Poudlard était que je rangeais le coin de chambre dans lequel mes affaires étaient entreposées. Noël, c’est sympa, mais quand les filles de votre chambre décident de faire la fiesta alors que vous êtes absente à faire les fêtes chez vous, ce n’est pas spécialement réjouissant. Elles avaient mis ma chambre à sac, et, ne leur ayant jamais adressé la parole de ma vie entière, je n’allais pas exiger d’elles qu’elles rangent, bien que je sache exécuter l’Imperium à la perfection. Petite pensée pour le Gryffondor qui a servi de cobaye.
Je m’étirai avant de m’écarter d’un bond agile. Mon côté était désormais tout propre et net. Je déteste la saleté et le désordre. Je ne le supporte pas. Maniaque? Certes un peu. Je sortis ma baguette pour commencer à tisser des sorts autour de mon lit et de mon armoire. À partir de maintenant, le premier qui met le pied dans ma partie de lit se retrouve changé en escargot. Rira bien qui rira le dernier. Me lavant et m’habillant d’un coup de baguette (pourquoi utiliser ses mains? Prouver sa supériorité magique est tellement mieux) je sortis hors de ma salle commune. Je croisai sans mot dire quelques idiots qui révisaient. Réviser… quelle utilité? Enfin, pour moi. Je lisais une chose, je m’en rappelais pour la vie. Je ne lisais que pour apprendre, apprendre, et apprendre encore. Ma soif était immense, et je commençais à sérieusement m’inquiéter. Que se passera-t-il lorsque, à la fin de l’année, j’aurai lu tous les livres de la bibliothèque, et même de la réserve?
Mais là, je ne devais pas penser à ça. Suite à une réplique acerbe destinée à Chourave, je devais aider un Gryffondor à ranger des bestioles plantaires. Ma phrase s’était tenue en ces termes « mais voyons, professeur, pourquoi essayer de trier des mandragores vu que dans la nature, elles le font toutes seules? Votre matière est une plaisanterie. » et la directrice des Poufsouffle, ne reconnaissant visiblement pas mon intelligence supérieure à son crâne d’œuf, pardonnez cette expression, m’avait collée en retenue avec ce rouquin Weasley. Il ne m’intriguait pas pour un sou. Stupide, toujours collé à ce garçon défiguré et aux lunettes rondes, et à cette fille avec l’Amazonie sur la tête, qui se croyait plus intelligente que tout le monde, alors qu’elle m’était inférieure à bien des niveaux, ce Ronald me semblait bien fade. Lorsque j’entrai dans la serre, il était en train de maugréer. J’aurai pu l’ignorer et ranger mes propres « trucs » comme il disait, mais je préférai une remarque un tantinet sarcastique:
« Ce que tu ranges s’appelle des mandragores. Si les choses ont des noms, c’est pour les appeler par ce mot. Mais cela ne m’étonne pas que tu dises « truc ». Après tout, un ignorant comme toi… »
Je ne disais pas ça pour le rabaisser, je constatais seulement. Ma voix était sans timbre, et si mes paroles étaient ironiques, aucune trace de plaisanterie dans mon ton. Je mis mes caches-oreilles et commençai à trier aussi les plantes hurlantes.
Je m’étirai avant de m’écarter d’un bond agile. Mon côté était désormais tout propre et net. Je déteste la saleté et le désordre. Je ne le supporte pas. Maniaque? Certes un peu. Je sortis ma baguette pour commencer à tisser des sorts autour de mon lit et de mon armoire. À partir de maintenant, le premier qui met le pied dans ma partie de lit se retrouve changé en escargot. Rira bien qui rira le dernier. Me lavant et m’habillant d’un coup de baguette (pourquoi utiliser ses mains? Prouver sa supériorité magique est tellement mieux) je sortis hors de ma salle commune. Je croisai sans mot dire quelques idiots qui révisaient. Réviser… quelle utilité? Enfin, pour moi. Je lisais une chose, je m’en rappelais pour la vie. Je ne lisais que pour apprendre, apprendre, et apprendre encore. Ma soif était immense, et je commençais à sérieusement m’inquiéter. Que se passera-t-il lorsque, à la fin de l’année, j’aurai lu tous les livres de la bibliothèque, et même de la réserve?
Mais là, je ne devais pas penser à ça. Suite à une réplique acerbe destinée à Chourave, je devais aider un Gryffondor à ranger des bestioles plantaires. Ma phrase s’était tenue en ces termes « mais voyons, professeur, pourquoi essayer de trier des mandragores vu que dans la nature, elles le font toutes seules? Votre matière est une plaisanterie. » et la directrice des Poufsouffle, ne reconnaissant visiblement pas mon intelligence supérieure à son crâne d’œuf, pardonnez cette expression, m’avait collée en retenue avec ce rouquin Weasley. Il ne m’intriguait pas pour un sou. Stupide, toujours collé à ce garçon défiguré et aux lunettes rondes, et à cette fille avec l’Amazonie sur la tête, qui se croyait plus intelligente que tout le monde, alors qu’elle m’était inférieure à bien des niveaux, ce Ronald me semblait bien fade. Lorsque j’entrai dans la serre, il était en train de maugréer. J’aurai pu l’ignorer et ranger mes propres « trucs » comme il disait, mais je préférai une remarque un tantinet sarcastique:
« Ce que tu ranges s’appelle des mandragores. Si les choses ont des noms, c’est pour les appeler par ce mot. Mais cela ne m’étonne pas que tu dises « truc ». Après tout, un ignorant comme toi… »
Je ne disais pas ça pour le rabaisser, je constatais seulement. Ma voix était sans timbre, et si mes paroles étaient ironiques, aucune trace de plaisanterie dans mon ton. Je mis mes caches-oreilles et commençai à trier aussi les plantes hurlantes.
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Re: Pff, qu'ça à faire de ranger ses...choses... {Libre
De No: j'me sens vieille... Tes persos et Henrik sont en 6eme année, j'suis en 7eme moi!
- S'efforçant de repousser le tempérament agressif coulant dans ses veines, Ron grommela et rangea le pot... Cette fille aux cheveux filasses se croyait plus intelligente... Il savait très -trop- bien qu'avec ce genre de filles, il n'avait aucune chance d'avoir le dernier mot, il s'était suffisamment entraîné avec Hermione!
- Figure toi, mademoiselle, que y'a pas que des mandragores à ranger. Mais c'est sur que au lieu de venir voir les bestioles à mettre dans les placards Dans l'ordre alphabétique s'il vous plait! tu as forcément fait quelque chose de plus intéressant. Grogna le roux.
Il regarda discrètement la fille. Une Serdaigle, Luna n'avait jamais parlé de cette fille, en quoi l'aurait-elle fait? Luna cherchait souvent ses affaires et quand elle ouvrait la bouche, elle te disait des trucs invraissemblables...
- Au fait, j'm'appelle Ron, et toi t'es qui?
Bien qu'il connaisse l'inutilité de se présenter, Ron le fit quand même, cela aurait fait prétentieux de penser que tout le monde connaissait son nom...
Attendant une quelconque réponse, Ron plaça un dernier pot dans le placard, il soupira et regarda la table couverte de bestioles qui s'étendait devant lui.
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Re: Pff, qu'ça à faire de ranger ses...choses... {Libre
Comme si je ne savais pas que nous n'avions pas que des mandragores à trier. Sa tirade ne me tira qu'un sourire étrange, propre à moi-même, et je lui tournai le dos sans lui accorder plus d'attention. Ce genre de personnes n'étaient pas intéressantes. Il rajouta une phrase ou deux, je ne l'entendais déjà plus. Il était dans les tréfonds de l'oubli. Il fallait plutôt que je pense à ce sortilège que j'avais lu récemment. Un sortilège curatif bien plus puissant que tous ceux que j'avais déjà utilisé. La formule avait été simple à retenir... remarque, avec un cerveau comme le mien, tout était simple à retenir. La pratique était bien sûr moins évidente, mais j'y arriverai forcément. Plongeant les doigts dans une chose que je ne voulais même pas identifiée, je fourrai le tout dans des bocaux, lorsque j'entendis à nouveau la voix du rouquin. Par automatisme, je me tournai vers lui. Et par habitude, je le regardai comme s'il était un demeuré. Son nom, Ron. Oui, d'accord. Pourquoi me le dire? Je m'en contrefichai comme mon premier sort, même si je m'en rappelais.
"On ne dit pas "toi t'es qui" mais "pourrais-je savoir ton nom?" c'est plus poli et plus distingué. Là, tu parais seulement encore plus stupide que tu ne l'es."
Mon regard vide quitta ce Ron pour se fixer sur le bocal que je fermais. Ici, un geste trop brusque et la Tentacula Vénéneuse vous attaquait. Si elle ne tuait pas un humain (ou moi peut-être, je suis un peu trop frêle pour mon âge) elle pouvait sérieusement le blesser, et ses épines, non seulement étaient épaisses, mais en plus avait un liquide paralysant dessus. Je ne donnai pas cher de ma peau ni celle de Weasley si jamais elle décidait que nous étions bon pour le petit déjeuner. Aussi mes yeux froids et clairs se tournaient régulièrement vers elle. Mais la plante ne bougeait pas, semblait seulement respirer. Voilà pourquoi je déteste la Serre.
"Mais je m'appelle Ayalia. Ayalia Turner."
Voilà. Moi, je n'étais pas impolie, je me présentai dans les formes. Si je n'allais pas lui tendre la main et le toucher, c'était simplement parce qu'elle était maculée de terre. Je n'avais pas omis mes gants. Je ne les avais juste pas trouvés, malgré mon rangement intensig. Je sentais étrangement que des choses s'étaient passées pendant mon absence. Mes "colocataires" auraient-elles fouillé dans mes affaires? Je n'allais pas tarder à le savoir. Un coup de Veritaserum dans leur jus de citrouille, et je retrouverais mes gants. La fin justifie les moyens.
"On ne dit pas "toi t'es qui" mais "pourrais-je savoir ton nom?" c'est plus poli et plus distingué. Là, tu parais seulement encore plus stupide que tu ne l'es."
Mon regard vide quitta ce Ron pour se fixer sur le bocal que je fermais. Ici, un geste trop brusque et la Tentacula Vénéneuse vous attaquait. Si elle ne tuait pas un humain (ou moi peut-être, je suis un peu trop frêle pour mon âge) elle pouvait sérieusement le blesser, et ses épines, non seulement étaient épaisses, mais en plus avait un liquide paralysant dessus. Je ne donnai pas cher de ma peau ni celle de Weasley si jamais elle décidait que nous étions bon pour le petit déjeuner. Aussi mes yeux froids et clairs se tournaient régulièrement vers elle. Mais la plante ne bougeait pas, semblait seulement respirer. Voilà pourquoi je déteste la Serre.
"Mais je m'appelle Ayalia. Ayalia Turner."
Voilà. Moi, je n'étais pas impolie, je me présentai dans les formes. Si je n'allais pas lui tendre la main et le toucher, c'était simplement parce qu'elle était maculée de terre. Je n'avais pas omis mes gants. Je ne les avais juste pas trouvés, malgré mon rangement intensig. Je sentais étrangement que des choses s'étaient passées pendant mon absence. Mes "colocataires" auraient-elles fouillé dans mes affaires? Je n'allais pas tarder à le savoir. Un coup de Veritaserum dans leur jus de citrouille, et je retrouverais mes gants. La fin justifie les moyens.
Invité- Invité
Re: Pff, qu'ça à faire de ranger ses...choses... {Libre
- Cette Ayalia Turner commençait à tapper sur les nerfs -qui allaient bientôt cédés- de Ronald. La Serdaigle se croyait plus intelligente que tout le monde et semblait prendre plaisir à rabaisser le rouge et or.
- Ravi de te connaitre.
Il s'efforçait de parler poliment, craignant de se faire réprimander par cette Hermione puissance dix mille!! Il frissona, voilà qu'il avait peur de cette fille, ses pensées se portèrent vers Harry et Hermione, plus vers cette dernière... Vers son sourire, sa gentillesse...
Il en avait oublié la sévère Serdaigle. Il se ressaisit. C'était Lavande sa petite amie, il ne devait penser à aucune autre!
Les bocaux remplient de minis-poulpes et autres, ne pesaient tellement pas lourds qu'il oublia leur existence... Il ne sentait plus rien dans ses doigts.
Il écarta les mains et le pot lui échappa, l'eau éclaboussa la serre. La sorte de poulpe tomba sur le sol.
Ron avait les yeux baissés vers le désastre, quand il les releva, il vit Ayalia trempée... Celle-ci n'allait pas lui pardonner...
- Excuse moi, je suis vraiment désolé!!
Il paniquait, ne savait pas s'il devait lancer un sort pour la sécher, mais il avait peur de la froisser...
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